Sois humble comme la lame d'herbe qui est foulée sous les pieds. La petite fourmi goûte joyeusement la douceur du miel et du sucre. L'éléphant puissant tremble de douleur sous l'agonie du fouet acéré.

Fais peu de choses mais fais-les bien, les joies simples sont sacrées.

Lorsque votre véritable nature, sans effort, joyeuse et reconnaissante, est réalisée, elle ne sera pas en contradiction avec les activités ordinaires de la vie.

Dans la vie spirituelle, on devient comme un petit enfant, sans ressentiment, sans attachement, plein de vie et de joie.

Prenez-le sur vous là où vous vivez pour rendre les gens autour de vous joyeux et pleins d'espoir.

Si vous vivez au niveau du Corps et de l'Individu, vous vous enlacerez dans la nourriture, le plaisir et l'amusement, la facilité, l'envie et l'orgueil. Oubliez cela, ignorez-le, surmontez-le - vous aurez la paix, la joie et le calme. Sur le chemin divin, il n'y a aucune chance d'échec; c'est le chemin de l'amour.

Si vous n'êtes pas dans un état d'acceptation, de plaisir ou d'enthousiasme, regardez de près et vous verrez que vous créez de la souffrance pour vous-même et pour les autres.

Si nous supportons toutes choses avec patience et joie, en pensant aux souffrances de notre Bienheureux Seigneur, et en portant tout par amour pour Lui : voici la joie parfaite.

Les choses et les conditions peuvent te donner du plaisir, mais elles ne peuvent pas te donner de la joie - la joie surgit de l'intérieur.

Tu cherches la joie et la paix dans des lieux lointains. Mais la source de la joie est dans ton cœur. Le havre de paix est en toi.

Ni la santé ni la joie peuvent être créées de l’extérieur. Il peut y avoir des stimuli extérieurs, mais essentiellement, les deux viennent de l’intérieur.

Mon enfant, je te bénis de tout cœur pour que tu vives longtemps, atteignes la dévotion et jouisses de la paix. La paix est l'essentiel. On n'a besoin que de paix.

Ne sois pas préoccupé d'être déloyal à ta douleur en étant joyeux.

J'ai connu le bien et le mal, le péché et la vertu, le juste et le faux ; j'ai jugé et j'ai été jugé ; j'ai traversé la naissance et la mort, la joie et la tristesse, le ciel et l'enfer ; et à la fin j'ai réalisé que JE SUIS dans tout et que tout est en moi.

Sans expérimenter la joie de la vie, vous ne pouvez pas chercher la source de la vie.

Il est impossible pour quelqu'un de dissiper ses peurs concernant les affaires les plus importantes s'il ne connaît pas la nature de l'univers mais continue à donner quelque crédit aux mythes. Ainsi, sans l'étude de la nature, il n'y a pas de jouissance du plaisir pur.

La vie passe. L'éternité vient à notre rencontre à grands pas. Bientôt nous vivrons avec la vie même de Jésus. Après avoir bu profondément à la source de toute amertume, nous serons déifiés dans la même source de toutes les joies, de tous les délices.

La connaissance est un fardeau si elle te prive de ton innocence. La connaissance est un fardeau si elle n'est pas intégrée dans la vie. La connaissance est un fardeau si elle ne t'apporte pas de joie. La connaissance est un fardeau si elle te donne l'idée que tu es sage. La connaissance est un fardeau si elle ne te libère pas. La connaissance est un fardeau si elle te fait sentir que tu es spécial.

Si vous avez l'expérience de l'anxiété, votre corps produit de l'adrénaline et du cortisol, si vous avez l'expérience de la tranquillité, votre corps commence à produire du valium, si vous avez l'expérience de l'exaltation et de la joie, votre corps produit des interleukines et des interférons, qui sont des médicaments anticancéreux puissants. Ainsi, votre corps convertit constamment vos expériences en molécules.

Et la raison finale est que le monde n'est qu'un jeu. Le saint savourait le jeu d'un enfant, et l'enfant savourait le jeu d'un saint.

Les chrétiens voudront être à l'avant-garde pour favoriser des modes de vie qui rompent résolument avec la frénésie épuisante et sans joie du consumérisme.

...le service n'a aucun sens à moins qu'on y prenne plaisir. Lorsqu'il est fait pour la vitrine ou par crainte de l'opinion publique, il étouffe l'homme et écrase son esprit. Le service rendu sans joie n'aide ni le serviteur ni celui qui reçoit le service.

Tu peux devenir un veilleur de nuit et vivre heureux. Ce qui compte, c’est ce que tu es intérieurement. Ta paix intérieure et ta joie, tu dois les gagner. C’est bien plus difficile que de gagner de l’argent. Aucune université ne peut t’apprendre à être toi-même.