La vérité est que chaque individu est emprisonné dans un corps. Un corps est une prison, une famille est une prison, le monde est une prison, et nous sommes les prisonniers de nos propres esprits.

Voici l'état d'un sage : voir sans regarder ; manger sans goûter ; toucher sans ressentir. Les sens fonctionnent, mais il n'y a aucun attachement à eux.

Bien qu'Il soit sans forme, Dieu a dit qu'Il nous a créés à Son image. Nous vivons sous forme, mais le corps a un contrepartie sans forme. Derrière ce corps visible se trouve la présence de l'âme invisible.

Figé et immobile, l'avocat pouvait à peine croire ce qu'il voyait, car l'homme qu'il regardait avait réellement une tête de serpent. Bien que nous puissions ressembler à des êtres humains, nous ne le sommes peut-être pas.

Les mots saturés de sincérité, de conviction, de foi et d'intuition sont comme des bombes vibratoires hautement explosives, qui, une fois déclenchées, brisent les rochers des difficultés et créent le changement désiré.

Même une petite pratique de ce dharma (rite religieux ou action juste) vous sauvera de la grande peur (mahato bhayat) — les souffrances colossales inhérentes aux cycles répétés de naissance et de mort.

Le vrai travail consiste à s'accorder à la méditation dans le Vide (sur le cinquième élément, l'éther) en laissant trois nerfs : ida, pingala, susumna et quatre éléments : khiti, apa, teja et marut, respectivement, terre, eau, feu et air.

Parmi les vivants, l’homme est la meilleure création. Il choisit l’un des deux chemins : une vie de chef de famille ou une vie de renoncement. Où peut-on trouver la justification de créer des différences entre un chef de famille et un sannyasi ?

Ne confondez pas la compréhension avec un vocabulaire plus étendu ; les écrits sacrés sont bénéfiques pour stimuler le désir de réalisation intérieure, si une strophe à la fois est lentement assimilée. L’étude intellectuelle continue conduit à la vanité et à la fausse satisfaction d’un savoir non digéré.

La naissance et la mort sont inévitables pour l'homme uniquement pendant l'état d'ignorance dans lequel il pense être le corps et ne peut exister sans lui. Seul l'homme qui ne cherchera pas l'éveil de la sagesse devra souffrir des cauchemars et des rêves illusoires des naissances et des morts et des misères fantaisistes et des limitations qui les accompagnent.

En Inde, il existe une histoire d'un jeune mourant qui, entendant les sanglots de douleur autour de lui, cria : "Ne m'insultez pas avec vos pleurs de sympathie. Quand je m'envole vers la terre de la lumière et de l'amour éternels, c'est moi qui devrais avoir de la compassion pour vous. Pour moi, il n'y a plus de maladie, de fractures d'os, de chagrin, de douleurs déchirantes. Je rêve de joie, je glisse dans la joie, je respire la joie pour toujours."

Dans la Bhagavad Gita (9:33), le Seigneur dit : "anityam-asukham lokam-imam prapya bhajasva mam." Ce monde est transitoire ; cela, nous le savons tous. Asukham, il y a tant de misère et aucune chance de trouver le bonheur dans ce monde. Le seul vrai bonheur réside dans la pratique spirituelle. Ainsi, le message du Seigneur est : "Pourquoi vous épuisez-vous dans un monde où il n'y a aucune chance d'obtenir quoi que ce soit ?"

Jusqu'au dernier jour de ta vie, sois positif ; essaie d'être joyeux. Même à la toute fin, ne pense pas : "C'est fini." Au lieu de te lamenter sur toi-même, tu devrais penser : "Ô vous qui êtes restés sur cette rive déserte encore à pleurer et déplorer, c'est moi qui vous plains." La mort ne te causera aucun problème si tu as une conscience claire ; et si tu pars avec cette pensée : "Seigneur, je suis entre Tes mains."

Sois sans peur.

J'ai vu des milliers de Krishnas.

Rends ton cœur pur et parfait.

L'amour est le battement de cœur de toute la vie.

Ne fais pas de différence entre le guru et Dieu.

Là où il y a beaucoup de mots, les erreurs sont inévitables.

Retire-toi au centre de ton être, qui est le calme.

Lorsque l'esprit est fort et le cœur pur, tu es libre.

La connaissance du Soi ultime est de se connaître soi-même par soi-même.

Peu importe si une grotte est restée dans l’obscurité pendant 10 000 ans...