Un homme n'a que la connaissance qu'il met en œuvre.

En présence de ton Satguru, la connaissance fleurit ; la tristesse diminue ; sans raison, la joie surgit ; le manque diminue, l’abondance se lève et tous les talents se manifestent.

La connaissance du Soi ultime est de se connaître soi-même par soi-même.

Étant donné que les incarnations masculine et féminine sont également nécessaires pour la connaissance de soi, il n'est pas juste considérer l'une comme plus importante que l'autre.

Le chemin de l'amour est aussi vrai que le chemin de la connaissance. Tous les chemins mènent finalement à la même Vérité. Mais tant que Dieu maintient en nous le sentiment de l'ego, il est plus facile de suivre le chemin de l'amour.

La souffrance est un produit de la connaissance limitée.

Ceux qui ont de la connaissance ne prédisent pas. Ceux qui prédisent n'ont pas de connaissance.

La connaissance en soi ne donne pas de compréhension. La compréhension n'est pas non plus augmentée par une simple augmentation des connaissances. La compréhension dépend de la relation de la connaissance à l'être... Elle apparaît seulement lorsque l'homme ressent et perçoit ce qui est lié à elle.

Le meilleur des savoirs vient par la révélation, pas par l'esprit. C'est un flot de connaissance qui submerge tout l'être.

Moins vous ressentez et plus vous croyez fermement, plus votre foi est digne de louange et plus elle sera estimée et appréciée ; car la vraie foi est bien plus qu'une simple opinion humaine. En elle, nous avons la vraie connaissance : dans la vérité, il ne nous manque rien, sauf la véritable foi.

La connaissance du péché est le début du salut.

Le temps n'est qu'une idée. Il n'y a que la Réalité. Quoi que vous pensiez qu'il soit, il ressemble à cela. Si vous l'appelez temps, c'est du temps. Si vous l'appelez existence, c'est de l'existence, et ainsi de suite. Après l'avoir appelé temps, vous le divisez en jours et nuits, mois, années, heures, minutes, etc. Le temps est immatériel pour le Chemin de la Connaissance.

L'être psychique et l'être mental, Manomaya Purusha, ne sont pas les mêmes. L'être psychique est derrière l'esprit, c'est ce que les Occidentaux appellent l'âme. Il s'intéresse aux mouvements de l'esprit et du vital seulement lorsqu'il y a une harmonie entre ces mouvements et la vérité supérieure. La connaissance de l'être psychique est plus profonde.

L’intelligence vive est à double tranchant. Elle peut être utilisée de manière constructive ou destructive comme un couteau, soit pour couper l’abcès de l’ignorance, soit pour se décapiter. L’intelligence est correctement guidée seulement après que l’esprit a reconnu l’inévitabilité de la loi spirituelle.

L'évolution humaine a deux étapes - de devenir quelqu'un à devenir personne ; et de devenir personne à devenir tout le monde. Cette connaissance peut apporter le partage et le soin dans le monde entier.

L'homme doté de la Connaissance parfaite de soi n'est pas pris dans ses actions ; mais l'homme privé de cette Connaissance entre dans le samsara.

C'est à travers ce corps physique que le but le plus élevé et le plus grand de la vie est atteint. Une personne ne l'appelle corps physique que par ignorance. Une fois que la connaissance est venue... il commence à le considérer comme le temple sacré de Dieu.

Aucune connaissance ne vient de l'extérieur; tout est à l'intérieur.

Parmi les trois chemins – jñana (connaissance), karma (action) ou bhakti (dévotion) – le sadhaka doit choisir celui qui correspond à sa nature. Aucun de ces chemins n'est supérieur ou inférieur aux autres. C'est une pure ignorance de considérer que son propre chemin est supérieur et ceux des autres inférieurs.

La foule ne veut ni ne cherche la connaissance, et les leaders de la foule, dans leurs propres intérêts, essaient de renforcer sa peur et son aversion pour tout ce qui est nouveau et inconnu. L'esclavage dans lequel vit l'humanité repose sur cette peur.

Comprendre signifie jeter ta connaissance.

Prends la compréhension de l'Est et la connaissance de l'Ouest – puis cherche.

Ne t'inquiète pas. Tu ne sais pas assez pour t'inquiéter... Qui te crois-tu pour t'inquiéter, bon sang ? C'est une totale perte de temps. Cela présuppose une telle connaissance de la situation que c'est, en fait, une forme d'hubris.