Nous revoyons quelques traductions.
Merci de votre compréhension.
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Vous pouvez voir tout l'univers dans une mandarine. Lorsque vous l'épluchez et que vous la sentez, c'est merveilleux. Vous pouvez prendre votre temps pour manger une mandarine et être très heureux.
En mangeant de la viande, nous partageons la responsabilité du changement climatique, de la destruction de nos forêts et de la pollution de notre air et de notre eau. L'acte simple de devenir végétarien fera une différence pour la santé de notre planète.
Mes actions sont mes seules véritables possessions. Je ne peux pas échapper aux conséquences de mes actions. Mes actions sont le sol sur lequel je me tiens.
Seul le moment présent contient la vie.
Le radeau est utilisé pour traverser la rivière. Il ne doit pas être porté sur vos épaules. Le doigt qui pointe vers la lune n'est pas la lune elle-même.
Le cadeau le plus précieux que nous puissions offrir à quelqu'un est notre attention. Lorsque la pleine conscience embrasse ceux que nous aimons, ils fleuriront comme des fleurs.
Dans la pleine conscience, on n'est pas seulement tranquille et heureux, mais aussi alerte et éveillé. La méditation n'est pas une évasion ; c'est une rencontre sereine avec la réalité.
Parfois, ta joie est la source de ton sourire, mais parfois, ton sourire peut être la source de ta joie.
Le bonheur est une fonction de la compassion. Si vous n'avez pas de compassion dans votre cœur, vous n'avez pas de bonheur.
Parce que tu es vivant, tout est possible.
Les sentiments, qu'ils soient de compassion ou d'irritation, doivent être accueillis, reconnus et traités sur une base absolument égale, car les deux sont nous-mêmes. La mandarine que je mange, c'est moi. Les feuilles de moutarde que je plante sont moi. Je les plante de tout cœur et d'esprit. Rien ne devrait être traité plus soigneusement que quelque chose d'autre. Dans la pleine conscience, la compassion, l'irritation, la plante de moutarde et la théière sont toutes sacrées.
Le secret est de retirer toutes les idées, tous les concepts, afin que la vérité ait la chance de pénétrer et de se révéler.
L’illumination, c’est quand une vague réalise qu’elle est l’océan.
Habituellement, lorsque nous entendons ou lisons quelque chose de nouveau, nous le comparons à nos propres idées. Si c'est la même chose, nous l'acceptons et disons que c'est correct. Si ce n'est pas le cas, nous disons que c'est incorrect. Dans les deux cas, nous n'apprenons rien.
Je me promets à moi-même que je profiterai de chaque minute de la journée qui m’est donnée pour vivre.
Lorsque nos croyances sont basées sur notre propre expérience directe de la réalité et non sur des notions offertes par d'autres, personne ne peut nous enlever ces croyances.
Je ne considérerais pas la colère comme quelque chose d’étranger à moi que je dois combattre. Je dois traiter ma colère avec soin, avec amour, avec tendresse, avec non-violence.
Il n’y a pas d’illumination en dehors de la vie quotidienne.
La source de la souffrance est une fausse croyance en la permanence et l'existence de soi séparés.
Comprendre signifie jeter ta connaissance.
S'il vous plaît, ne laissez pas les médecins vous dire que vous allez avoir un bébé avant de commencer à vous en occuper. Il est déjà là. Peu importe ce que vous êtes, peu importe ce que vous faites, votre bébé le recevra. Tout ce que vous mangez, toutes les inquiétudes qui vous occupent l'esprit, seront pour lui ou elle. Pouvez-vous me dire que vous ne pouvez pas sourire ? Pensez au bébé, et souriez pour lui, pour elle, pour les générations futures. S'il vous plaît, ne me dites pas qu'un sourire et votre tristesse ne vont pas ensemble. C'est votre tristesse, mais qu'en est-il de votre bébé ? Ce n'est pas sa tristesse, ce n'est pas sa peine.
Chacun peut pratiquer une certaine forme de non-violence, même les soldats. Certains généraux de l'armée, par exemple, mènent leurs opérations de manière à éviter de tuer des innocents ; c'est une forme de non-violence. Pour aider les soldats à se diriger vers la non-violence, nous devons être en contact avec eux. Si nous divisons la réalité en deux camps - le camp des violents et celui des non-violents - et que nous nous plaçons dans un camp tout en attaquant l'autre, le monde n'aura jamais de paix. Nous blâmerons et condamnerons toujours ceux que nous jugeons responsables des guerres et des injustices sociales, sans reconnaître le degré de violence en nous-mêmes. Nous devons travailler sur nous-mêmes et aussi avec ceux que nous condamnons si nous voulons avoir un impact réel.
Aimer, c’est reconnaître ; être aimé, c’est être reconnu par l’autre.